Des vaccins obligatoires mais retirés de la vente…

Le Code de la santé publique prévoit  (Art. R 3111­-17) : « L’admission dans tout établissement d’enfants, à caractère sanitaire ou scolaire, est subordonnée à la présentation soit du carnet de santé, soit des documents en tenant lieu attestant de la situation de l’enfant au regard des vaccinations obligatoires. A défaut, les vaccinations obligatoires sont effectuées dans les trois mois de l’admission. »

La vaccination contre 3 maladies est obligatoire : contre la diphtérie, le tétanos et la polio. Le vaccin qui les regroupe est nommé DT-Polio ou DTP.

Depuis 2008, ce vaccin obligatoire en France n’est plus disponible dans les pharmacies !

Il a été remplacé par un « super-vaccin », INFANRIX Hexa qui contient, en plus du DT-Polio, 3 vaccins qui ne sont pas obligatoires (hépatite B, Haemophilus Influenzae, coqueluche), de l’aluminium, et qui coûte 7 fois plus cher. Comme l’explique le Professeur Joyeux, ce vaccin présente des risques pour la santé.

En tant qu’établissement scolaire, nous ne pouvons pénaliser les familles et les enfants qui n’auraient pas eu les vaccinations obligatoires à cause de cette pénurie artificiellement provoquée par les laboratoires pharmaceutiques depuis presque 8 ans !

On ne peut jouer avec la santé des enfants au nom de la santé financière des entreprises pharmaceutiques !

Il est possible de signer une pétition, qui a déjà reçu plus de 850 000 signatures, pour demander à la Ministre de la Santé que cette situation cesse.

http://petitions.ipsn.eu/penurie-vaccin-dt-polio/index.php

Voici une explication du Professeur Joyeux, à l’initiative de cette pétition :

« En juin 2008, le vaccin DTP a été soudainement et subrepticement retiré du marché, sans motif réel, sans avertir évidemment les médecins, les pharmaciens et les familles, premières concernées. 

Il a aussitôt été remplacé par un autre vaccin qui contenait, cette fois un adjuvant l’Aluminium, une substance qui n’a rien à faire dans le corps, en particulier d’un nourrisson. C’est un métal toxique souvent plus tard, partout où il est stocké : dans les poumons, les os, les reins et même le cerveau. 
Cet adjuvant a pour but de stimuler les défenses immunitaires de l’enfant qui ne sont pas encore en place et justifierait une vaccination très précoce à 2 mois.

En septembre 2014, ce vaccin a disparu à son tour des pharmacies.
Ne sont restés en vente dans les pharmacies que des super-vaccins vaccinant contre 4, 5 ou même 6 maladies.
Ces super-vaccins contiennent donc le DTP, mais aussi un ou plusieurs vaccins qui ne sont pas obligatoires. On les dit  « recommandés »…
Ils sont évidemment deux à sept fois plus chers que l’ancien vaccin DTP devenu introuvable.
En droit, cela s’appelle une « vente liée » ou imposée, et c’est illégal.

Mais l’affaire ne s’est pas arrêtée là.
Début 2015, les super-vaccins contenant 4 et 5 maladies ont disparu à leur tour !
Depuis, ne reste vendu dans les pharmacies qu’un seul vaccin, le super-vaccin hexavalent (6 maladies) qui est le plus gros… et le plus cher !
C’est toujours le cas aujourd’hui, en ce premier trimestre 2016 !!!
Il s’agit de l’« INFANRIX Hexa » du géant pharmaceutique américain GSK (GlaxoSmithKline) ou du concurrent le Français Sanofi-Pasteur avec son vaccin Hexavalent nommé Hexyon ou Hexacima.

C’est un vaccin avec aluminium qui contient donc le DTP, mais aussi 3 autres vaccins contre la coqueluche, l’Haemophilus influenzae b et contre l’hépatite B. Ces vaccins ne sont pas obligatoires mais indiqués dans des cas précis que seul LE MEDECIN est capable de justifier.

Son coût, par contre, est évidemment sept fois plus élevé que le traditionnel vaccin DTP : 39 euros contre 6,54 euros pour le simple DTP de BioMérieux.

C’est pourquoi j’ai lancé en mai dernier un appel aux pouvoirs publics. Nous avons provoqué une tempête médiatique et récolté près de 800 000 signatures pour cette grande pétition demandant tout simplement le retour du DTP seul et SANS ALUMINIUM. »

 

« Il est normal que médecins et parents hésitent et même refusent d’injecter l’INFANRIX Hexa ou l’HEXYON à des nourrissons.

Ce vaccin ne contient pas « seulement » de l’aluminium INUTILE et DANGEREUX. Il contient le vaccin controversé contre l’hépatite B.

Or, en 2009, le laboratoire GSK a été reconnu responsable du développement d’une sclérose en plaques chez une adolescente, qui avait reçu le vaccin contre l’hépatite B.

En 2014, l’Etat français a été condamné à verser 2,4 millions d’euros à une infirmière qui avait développé une sclérose en plaques peu après une vaccination contre l’hépatite B. [2]

L’hépatite B est une maladie transmissible par voie sexuelle, par le sang ou la drogue. L’immense majorité des nourrissons ne sont pas concernés. Ils ne devraient pas être obligés de courir le risque de la vaccination.

Et pourtant, à l’heure où je vous parle/écris, les parents qui voudraient le simple DTP s’exposent toujours à des poursuites judiciaires.

Le 6 janvier 2016, Marc Larère et son épouse Samia ont été condamnés, une aberration, à deux ans de prison avec sursis pour avoir voulu attendre que revienne le simple DTP pour vacciner leur fille. »